Chers amis, chères frères, chères soeurs, l'heure est grâve.
Au moment où je vous parles, un scandale vient d'être percé à jour. Ghazoleen, en est témoin.
Jusqu'à aujourd'hui j'avais une confiance absolue en chacun d'entre vous, même en ceux qui pillent nos caves ou nos coffres. Mais jamais je n'aurais pu imaginer une telle chose. Jamais je n'aurais cru qu'une personne pour qui j'ai eut tant d'amitié et tant d'amour fraternel aurait pu faire cela.
Jamais je n'aurais cru que quelqu'un qui a croisé le fer à mes cotés, qui a si souvent sauvé nos vies et si souvent partagé nos souffrances, nos peines mais aussi nos moments de paix et de joie, aurait pu cacher un si lourd secret.
En vérité, mes frères, je vous le dis, jamais je n'aurais cru que Dagmareth et Dagmargil aurait pu trahir nos valeurs. Car oui il s'agit bien d'elles, elles qui malgrés les animosités qu'elles s'attiraient fréquemment étaient aimées et appréciées de chacun, elles qui étaient au coeur même de ce qui fait de nous une confrérie puissante et unie.
Je... je... arf j'ai les jambes coupées d'avoir appris cela, et non ce n'est pas un jeu de mots pour un nain. Comment pourrions-nous à nouveau faire confiance à nos amies en apprenant qu'elles ne partagent pas la base même de nos valeurs.
Je suis totallement effrondé et mes très chers amis, je ne saurais que vous conseiller de vous asseoir avant que je n'évoque ce secret.
Chers nains, mes frères, chers hobbits au gosier avide, chers elfes joyeux et hommes ou femmes respectueux, le choc sera terrible. Je reviens des géoles même de Dol Guldur et pourtant toutes mes pensées se tournent vers ce terrible secret.
Thorguiln, toi qui sera le plus atteint par cette nouvelle, je t'en prie, assis-toi et poses tes armes en sécurité et loin de toi. Car je ne voudrais pas qu'en apprenant la nouvelle tu fasses une bétise.
J'aurais voulu garder le secret pour moi, mais ce fardeau est trop lourd.
*baisse la tête las et profondément attristé*
Elles n'ont ... elles n'ont jamais .... arf, comment pourrions nous leur pardonner ? Comment nous, pauvres enfants d'Eru ou d'Aulë, comment pourrions nous leur pardonner...
*relève la tête péniblement*
Elles n'ont ... elles n'ont ... elles n'ont JAMAIS ETE A LA TAVERNE DU PALAIS DE THORIN DE LEUR VIE !!!!
*Glorilin se mît a trembler et fût pris de spasmes, ses yeux devinrent rouges de sang et ses mains se crispères sur son luth*
HERETI
IIIIIIIIIIIIIIIQUES !!!!!!